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  • Photo du rédacteurElodie-Adeline Meunier

Actualité/La déprime saisonnière : 

Les symptômes de la déprime saisonnière:

La déprime ou dépression saisonnière se caractérise par une grande souffrance morale, un sentiment de tristesse omniprésent, notamment en début de journée, une extrême lassitude (asthénie), une perte d’intérêt général, une anxiété exacerbée, une absence de repères, un manque prononcé d’estime de soi. De l’importance de l’inhibition de ces symptômes, la personne déprimée révèlera plus ou moins de signes somatiques : un changement anormal de poids, des nerfs à fleurs de peau, des difficultés de concentration, des troubles de l’humeur et des idées noires. Perturbées, les personnes déprimées rompent avec leur rythme biologique de sommeil et souffrent fréquemment d’hypersomnie. Elles se réfugient dans le sommeil, mais un sommeil perturbé, peu réparateur et irrégulier. Elles dorment trop et, a contrario, se réveillent à l’aube. Elles compensent leur anxiété et leur agitation par la nourriture, notamment les sucreries. Chaque symptôme, chaque contrariété déteignent sur le quotidien et deviennent prétextes à s’enfoncer davantage dans l’accablement. Le cercle vicieux se voit ainsi constamment alimenté. Si cette vulnérabilité atteint son paroxysme dès les premiers jours de grisaille, elle disparaît, en général, avec les premiers rayons du soleil. Néanmoins, de tels épisodes dépressifs sont malheureusement rarement anodins et révèlent une certaine fragilité aux changements de saison. La déprime ou dépression saisonnière se caractérise par une grande souffrance morale, un sentiment de tristesse omniprésent, notamment en début de journée, une extrême lassitude (asthénie), une perte d’intérêt général, une anxiété exacerbée, une absence de repères, un manque prononcé d’estime de soi. De l’importance de l’inhibition de ces symptômes, la personne déprimée révèlera plus ou moins de signes somatiques : un changement anormal de poids, des nerfs à fleurs de peau, des difficultés de concentration, des troubles de l’humeur et des idées noires. Perturbées, les personnes déprimées rompent avec leur rythme biologique de sommeil et souffrent fréquemment d’hypersomnie. Elles se réfugient dans le sommeil, mais un sommeil perturbé, peu réparateur et irrégulier. Elles dorment trop et, a contrario, se réveillent à l’aube. Elles compensent leur anxiété et leur agitation par la nourriture, notamment les sucreries. Chaque symptôme, chaque contrariété déteignent sur le quotidien et deviennent prétextes à s’enfoncer davantage dans l’accablement. Le cercle vicieux se voit ainsi constamment alimenté. Si cette vulnérabilité atteint son paroxysme dès les premiers jours de grisaille, elle disparaît, en général, avec les premiers rayons du soleil. Néanmoins, de tels épisodes dépressifs sont malheureusement rarement anodins et révèlent une certaine fragilité aux changements de saison.

15 à 25 % des personnes subissent une rechute dans l’année et 50 à 85 % plus tard, au cours de leur vie.

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